Zuzzurellone

Longtemps j'ai cru que zuzzurellone ou zuzzerellone était le dernier mot du dictionnaire italien, j'avais pour me conforter dans cette idée, consulté le Larousse "français italien" "italien français" par Claude Margueron et Gianfranco Folena  de 1994, mais tout évolue ... il parait que maintenant c'est "ZZZ". Comment faire pour détrôner ce mot? Un chercheur bosseur ("sgobbone")? devrait se pencher sur ce cas en essayant de ne pas tomber ... de sommeil bien sûr!

En tout cas je trouve que c'est dommage! terminer par "écervelé" ou "grand enfant", ça a de la gueule, non?

Treccani, l'enciclopedia italiana

Mi dicono che “zuzzurellone” non è più l'ultima parola del vocabolario italiano. Qual è l’ultima, allora?

Zuzzurellone (con le sue varianti zuzzerellone, zuzzerullone, zuzzurullone; quest’ultima è la variante generalmente posta a lemma per prima da tutti i dizionari) ha da tempo perso la palma dell’ultimo lemma, in diversi dei maggiori dizionari della lingua italiana dell’uso. Perché? Perché, anno dopo anno, l’ampliamento progressivo del lemmario, con l’inserimento sempre più massiccio di parole nuove, forestierismi, tecnicismi, ha portato zuzzurellone a perdere la posizione di chiusura, a vantaggio di alcuni nuovi ingressi.

Ancora nel 1988 gli autori della prima edizione di quel rigoroso e divertente dizionario che tutt’ora è il DIR (Dizionario italiano ragionato), facevano questo commento su zuzzurullone, riportata appunto come ultima voce: «Voce che pare nata apposta per concludere a sorpresa i lemmi del tutto italiani del dizionario. (E con una involontaria beffa per chi consulta il vocabolario alla ricerca della precisione ortografica, perché della stessa voce si presentano ben quattro forme diverse)». Già pochi anni dopo, nel 1994, il quarto volume della prima edizione del Vocabolario della lingua italiana della Treccani faceva perdere il primato della “maglia nera” a zuzzurullone e soci, facendolo seguire da altre tre voci, zwingliano, zygion e l’onomatopeico zzz. Nell’arco di una decina d’anni, la lessicografia nostrana incrementa ulteriormente il lemmario. Nello Zingarelli 2008, le voci che seguono a zuzzurullone sono cinque. Per non parlare del Grande Dizionario italiano dell’uso diretto da Tullio De Mauro, che, avendo un lemmario più esteso dei dizionari monovolume, allinea ben 15 lemmi dopo zuzzurullone. Sembra comunque che, per ora, l’ultimo lemma nel dizionario sia zzz ed è difficile immaginare che possa essere lasciato indietro da qualche nuova voce. Almeno, terrestre.


http://www.treccani.it/enciclopedia/ricerca/zuzzurellone/

Tuer le temps

Non ce n'est pas un crime, enfin, ... on ne passe pas encore en cour d'assises pour avoir tué le temps.
Mais c'est quand même grave car cela signifie qu'on s'occupe à quelque chose pour ne pas s'ennuyer, or le temps dit on c'est de l'argent.
Toutefois, c'est mon occupation préférée lorsque je viens sur le net, je tue le temps jusqu'à ce qu'il me tue, mais  ... le plus tard possible!

 C'est aussi à la mode à l'infinitif!

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Courtilière

Celles là elles ne sont pas aimées des jardiniers. Quand elles fouissent la terre elles mangent toutes les racines qu'elles rencontrent sur leur parcours.
Ce qui me rappelle une anecdote .
Un jardinier à qui sa voisine, personne âgée qui aimait le travail bien fait, lui disait qu'il ne semait pas droit ses rangées lui répondait qu'il faisait ainsi à cause des courtilières qui elles vont tout droit et ainsi manquent une plante sur deux.
En bêchant le jardin, très souvent, il m'est arrivé de déterrer des larves mais je n'avais jamais rencontré de spécimen adulte. Or voilà qu'il y a quelques jours j'en rencontre une. Elle traversait la route à toute vitesse ... elle était en terrain découvert;  la voici qui bute sur une montagne de caoutchouc, ma roue avant, je m'étais arrêté à sa hauteur. Avant qu'elle ne fasse demi tour, j'ai pu lui tirer le portrait, mais elle était vive.

 

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Les grillons

Tout l'été on entend chanter les grillons dans les champs, parfois ils sont d'ailleurs agaçants.

Lorsque j'étais enfants j'allais les sortir de leur trou, pour les mettre dans une cage avec de l'herbe à grillons comme nourriture. Ces cages étaient vendues dans le commerce, comme quoi on peut gagner sa vie même avec ça.
Il fallait s'approcher doucement pour repérer où il se terrait. La moindre vibration du sol le faisait rentrer dans sa caverne. Une fois le trou repéré, il fallait le faire sortir en lui chatouillant le ventre avec un brin d'herbe, ça ne marchait pas toujours ... alors il fallait employer les grands moyens ...  que je ne décrirai pas ici. (Non ce n'était pas avec une pioche !!! plutôt une inondation avec les moyens du bord!)
D'abord il faut leur fiche la paix aux grillons.
Alors si vous voulez en voir allez vous promener dans la campagne au printemps, ils courent la gueuse, et parfois on en voit sur les routes et chemins il suffit alors de les photographier.

si vous avez de la chance vous rencontrerez Monsieur et Madame. Madame qui ne chante pas, elle!
Pour agrandir les photos, cliquez (comme d'hab!)

solitude

Faute d'avoir du monde avec soi, il faut photographier son ombre lorsqu'on en a une ... il parait qu'il existe des personnes qui l'ont perdue.

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La nature nous épate

Enlacés, mais jamais lassés, une histoire d'amour qui dure!

Curieuse végétation

On dirait bien qu'il est contrarié par quelque chose ...

C'est incroyable ce que la nature peut avoir comme imagination ... à moins que ça ne soit nous?
Les bois seraient ils peuplés d'êtres étranges?

(Comme d'habitude ... cliquer sur l'image pour l'agrandir.)

La cigale et la fourmi

Comme le dit la fable, pendant que celle ci chantait, celle là cherchait sa pitance dans un milieu un peu aride ... c'était l'été dernier. Un peu de nostalgie ...

D'où vient le vent?

Elles sont là bien perchées à observer d'où pourrait bien venir l'hiver rigoureux qui approche?
En tout cas elles semblent observer les quatre points cardinaux.

(Cliquer sur l'image pour l'agrandir comme d'habitude)

Hiver 2011

Je donnerais bien quelques pièces de monnaie pour avoir quelque idée, mais bon c'est l'hiver, alors on hiberne, tout va moins vite et les idées progressent avec lenteur.




Je viens de retrouver une photo qui me fait penser à un dicton russe (enfin, je crois) qui dit à peu près ceci: "chacun son goût comme dit le chat en se lèchant le t*ou du c*l".

Bon! peut être n'est-ce pas russe après tout! Il ne faut pas croire tout ce qu'on lit.